Une nouvelle idée pour l'été 2013 !

ON SE REFAIT LE RAVEL

Une balade familiale sur le parcours du Beau Vélo de Ravel 2012.

Avec une halte à mi-parcours au château de Blehen et un grand barbecue à l'arrivée, le tout agrémenté de deux/trois petits concerts !

Qu'en pensez-vous ?

 

Hier soir, j'ai enregistré le film retraçant l'histoire de Facebook afin de pouvoir le visionner à mon retour de trois réunions. Etonnant !

Ceci m'amène à la réflexion suivante : les réseaux sociaux sont-ils utiles en politique ? Sans aucun doute oui ... quand ils sont utilisés à bon escient et depuis un temps certain. Et j'avoue que, pour l'instant, on arrive à l'overdose de publications.

Je me suis personnellement "désabonné" des publications de plusieurs "amis" (aucun Hannutois pour que cela soit clair ...) qui matraquent littéralement la toile, 20 fois par jour, de leurs photos et états d'âme.

Trop is te veel ! "Martine à la cuisine", "Martine à la Plage", "Martine à l'école" ... etc (emprunté à la bande dessinée, n'y voyez aucune allusion)... c'est d'un lourd !

Mais, si je me trompe, tant pis ! Si ça marche pour eux, tant mieux ... mais je n'y crois pas !

Je suis de ceux qui n'ont jamais émis une quelconque opinion politique sur leur mur et je maintiendrai cette attitude jusqu'au bout : rester soi-même me paraît plus important ... quelle que soit l'échéance. Je concède cependant que, pour de nombreux hommes (et femmes) politiques "en vue", c'est un passage obligé.

Certains amis (bien réels ceux-là) me disent : "On n'a pas encore vu ton affiche ou ton tract sur Facebook". A cela je réponds qu'il y a une vie après la campagne électorale : je n'ai nulle envie de perdre des relations enrichissantes, patiemment tissées depuis des années, pour quelques publications qu'ils n'apprécieraient pas.

C'est un choix dont je ne suis pas tous les jours "politiquement rassuré" mais j'assume.

La campagne électorale est désormais bien lancée ! Les partis affûtent leurs armes, arguments et même leurs candidats ...

Les pronostics vont déjà bon train aux différents comptoirs de la Ville !

Mon "sondage" sur la répartition des sièges (il suffit de tendre l'oreille), je n'ai pas dit "mon pronostic" :

- MR => 16 (-) ou 15 (-1)

- PS => 5 (+1)

- CdH => 3 (-)

- Ecolo => 1 ou 2

Faites vos jeux ...

Les inondations que nous observons ne sont pas une fatalité. Les orages ne sont pas plus violents que jadis !

C'est l'homme qui est la cause de cela. Il a modifié le relief du sol, densifié l'habitat à outrance dans certaines zones. Il n'entretient pas suffisamment les berges des cours d'eau et rivières, il n'est pas suffisamment attentif au curage préventif des petites rivières... qui feront les grandes crues.

Tous les spécialistes s'accordent sur ce sujet.

Mais on continue à imperméabiliser les sols en densifiant l'habitat dans des zones à risques. Même si ces risques sont déclarés "faibles" par des bureaucrates qui n'ont jamais vécu dans la région concernée. Il faut déployer des trésors d'imagination pour convaincre les responsables (généralement provinciaux) de l'importance des curages préventifs.

Ce qui me frappe c'est l'absence totale de vision à long terme de la part des entreprises chargées des études d'incidences sur l'environnement dans les projets de lotissements, par exemple. Elles alignent chiffres et statistiques mais jamais elles ne tiennent compte du bon sens de nombreux riverains, du vécu, le histoire d'une région, d'un village. C'est après qu'on se rend compte du bien-fondé des remarques ... quand il est trop tard !

Hannut est sous "pression immobilière" intense !

Il faut absolument avoir ce qui précède à l'esprit. La majorité en place vient de prendre deux excellentes mesures dans le bon sens : la révision du schéma de structure et des règlements communaux d'urbanisme.

IL FAUT ABSOLUMENT s'y tenir, voire aller plus loin !

Les générations futures nous remercieront !

 

 

On dirait que certain(e)s ne veulent pas voir ce qui se passe en ville ! Pour une fois, je vais faire allusion à mon "autre vie", avant 2001. J'ai vécu, de très près, l'augmentation progressive de la violence et du sentiment d'insécurité en Province de Liège, d'année en année, presque inexorablement.

Qu'il s'agisse des soirées, en rue, dans le sport, dans les relations humaines ... sans même parler du grand banditisme. Beaucoup d'autorités locales, à l'époque, n'ont pas "senti venir" cela, malgré les mises en garde répétées des autorités judiciaires, statistiques à l'appui. Rares étaient les Bourgmestres qui osaient prendre des mesures "fortes", de peur d'être taxés d'autoritarisme, de "sécuritaires" ou, pire, d'abominables répressifs.

Les premiers qui ont osé installer des caméras de surveillance ont été vilipendés au nom du respect de la vie privée ou, plus sournoisement, au nom d'une conception permissive de la liberté individuelle.

"Ils" ont pris des mesures ... trop tard, lorsque la machine était lancée, inexorablement !

Bien sûr qu'il ne faut pas négliger l'aspect éducatif, l'aspect préventif ! Mais à côté de cela il faut absolument se rendre compte que la "montée douce" de la violence, dans les mêmes domaines décrits plus haut, n'est que le début du processus : il faut agir, vite et bien, en collaboration avec TOUS les intervenants ! Les caméras de surveillance ne sont que la partie visible, mais nécessaire, de l'iceberg : il reste beaucoup de travail à effectuer sur le terrain, quotidiennement ! Aux politiques - donc à nous - d'y réfléchir. Et pas demain : maintenant !

Manu et Florence, voire Benoît, dans leurs compétences respectives, ont déjà mis beaucoup de structures en place : ce sera, sans doute, encore, l'un des défis de la prochaine législature.

Mais se voiler la face serait une erreur monumentale ! Dans TOUTES les villes qui nous entourent (et même plus loin) il y a belle lurette que les débits de boissons doivent fermer à 01h00 (et même parfois plus tôt encore).

Alors il n'y a jamais de hasard !

Soit toutes les autres villes ont tort et nous avons raison de "laisser aller", seuls, comme des visionnaires !

Ou - et je n'ose le penser - toutes les autres villes ont raison et nous aurions tort, seuls !

NB. Et je salue le courage d'Hervé en cette période "inédite" à Hannut. Et, ne vous inquiétez pas, les terrasses qui ne posent pas de problème ... n'en poseront pas non plus de son côté ... encore faudra-t'il qu'elles aient une existence "légale" ! Le "pousse" à 1 heure du matin, par 23°, un 25 juillet, à la terrasse d'un bon resto de chez nous n'a jamais posé de problèmes. Mais ce ne sont pas CES terrasses qui sont visées. Même si la démagogie ambiante le fait croire.

Nous rencontrons actuellement les villageois qui le souhaitent dans le cadre de la nouvelle Opération de Développement rural (Chaque village depuis janvier et jusque fin avril).

Une constante ! Les villageois craignent la perte du caractère rural de leurs communes en raison de la pression immobilière qui "sévit" à Hannut. Les membres du Collège communal essayent de ne pas prendre part aux débats sauf quand, manifestement, la population n'est pas ou est mal informée ... et c'est le cas en ce qui concerne cette problématique.

Hier soir encore, à Lens-Saint-Remy, plusieurs personnes ont déploré la mise en oeuvre de lotissements dans des zones qu'ils savent humides et au sujets desquelles plusieurs études ont abouti à la conclusion qu'il conviendrait de les préserver au lieu de les bâtir.

La perte du caractère rural des villages de l'entité est un problème auquel les membres du Collège communal sont très attentifs depuis plusieurs années et surtout depuis la constatation de la nette hausse de la pression immobilière.

Il y a cependant des choses auxquelles nous ne pouvons - légalement - échapper !

Le Plan de Secteur de Hannut a été pensé à la fin des années 70 par des personnes, certes "sages", mais certainement pas visionnaires ! Personne n'a imaginé que la ville de Hannut, telle qu'ils l'ont "dessinée", pouvait ainsi tripler, voire quadrupler sa population en 50 ans !

La réserve foncière (en terrains à bâtir) est l'une des plus imposante de la Province (plus de 500 hectares ...!). Et la menace est clairement là !

Nous n'avons PAS le pouvoir de modifier ce plan de secteur, coulé dans une Loi (et désormais dans un Décret wallon). Et chaque propriétaire d'une parcelle à bâtir entend, un jour ou l'autre, valoriser son patrimoine et vendre son terrain au prix correspondant à sa destination ! Allez lui dire, maintenant, que sa parcelle - bien que située en zone humide - ne vaut plus que le prix d'une prairie ... ! (Exemple pris plus haut).

Bonjour les tribunaux !

La Ville a déja adopté un règlement communal qui limite la densité de l'habitat dans les villages (lotissements) et y proscrit les immeubles à appartements. Désormais c'est le schéma de structure et les règlements communaux d'urbanisme qui vont être revus et actualisés afin, notamment, de conférer une valeur obligatoire au règlement décrit ci-dessus.

Pourquoi certains villages (6) sont-ils entièrement "bâtissables", y compris les îlots centraux, alors que dans les autres, il n'est permis de construire que le long des voiries existantes ??

Je pense que nous héritons maintenant des conséquences d'une erreur historique, commise (et sans doute pas par hasard ...) par certains responsables politiques communaux après les fusions des communes, lors des (âpres) discussions sur l'élaboration du Plan de Secteur de Hannut.

Nous essayons de gérer cela avec tout le bon sens nécessaire et, dans la mesure du possible, de corriger certaines "erreurs" ... mais croire qu'une Ville, quelle qu'elle soit, dispose de la maîtrise complète de son aménagement territorial est une absurdité ! Il faut aussi le dire !

 

 

Réaction d'Ecolo sur Facebook (26.2.2012) suite au Conseil communal d'hier soir : Hannut Ecolo

de retour d'un Conseil Communal sans réel débat... ni sur les gens du voyage, ni sur les éoliennes (on va en recours pour le principe de défendre un moratoire communal dans un domaine de compétence régional) ni sur la mobilité, ni vraiment sur l'accompagnement vers la sécurité... bref...

Ne serait-ce pas, tout simplement, parce que les propositions du Collège communal sont d'un évident bon sens...

1. Où trouver le terrain communal propice à l'accueil des gens du voyage : il n'en reste qu'un, juste à côté de l'Hôtel de Ville (endroit propice s'il en est !) et où trouver l'argent pour réaliser tous les travaux d'aménagement nécessaires. C'est une volonté régionale : que la Région paie ! (Presque toutes les communes wallonnes ont la même attitude ... ndrl).

2. Les éoliennes, c'est une compétence régionale ... qu'on veut nous imposer ! OUI à l'énergie "verte" en Wallonie mais Hannut, avec ses 9.000 hectares est l'objet de toutes les convoitises (Plus de 60 mâts sollicités ... à ce jour). Et c'est ce "flou artistique" autour du cadastre wallon des implantations que nous combattons, pas le principe de l'énergie alternative ! C'est une politique régionale : que la Région dise clairement où elle veut implanter ses 600 éoliennes ---> pas toutes en Hesbaye !

3. Sécurité : c'est la compétence du Bourgmestre qui, en l'occurrence a remarquablement pris ses responsabilités en urgence. Sur le fond, ce n'est pas en public, au Conseil communal, qu'on évoque des question - manifestement - de personne(s) ! C'est en commission communale pluraliste, qui se réunira bientôt.

Notre Ministre de l'Aménagement du Territoire, Philippe Henry (Ecolo), préconise de densifier les centres des villes et villages afin de "loger" le million de nouveaux wallons qui chercheront à construire une habitation d'ici 2060.

Sur le fond, je ne peux pas lui donner tort puisqu'il préconise d'utiliser parcimonieusement le sol disponible et d'arrêter l'extension des villes : louable !

Et pour Hannut qu'est-ce que cela donne ?

La plupart de nos villages ne sont bâtissables que le long des voiries existantes SAUF Blehen, Poucet, Thisnes, Avin et Moxhe (principalement), dont tous les noyaux centraux sont situés en zone à bâtir.

Si l'on suit la logique ministérielle (densifier les noyaux centraux) cela équivaut à doubler la population de ces villages au même horizon 2060. IMPENSABLE !

J'espère fermement que nos édiles adapteront leurs décrets en fonction des réalités de terrain. Et, surtout, qu'ils donneront l'opportunité aux Villes et communes de REVOIR leurs propres plans de secteur afin de valoriser des espaces adéquats et d'éviter la mort de leurs villages au caractère rural si prisé.

Hannut est l'une des villes qui dispose de la plus grande réserve foncière bâtissable en Wallonie (plus de 500 hectares) ! Si les mesures préconisées sont appliquées de manière linéaire en Wallonie, Hannut comptera plus de 30.000 habitants en 2060.

Je ne serai plus de ce monde à ce moment. Par contre, c'est maintenant que cette politique d'aménagement du Territoire se construit et je compte me battre pour empêcher l'assassinat de notre qualité de vie !

Les grandes villes se plaignent de ne pas avoir les moyens de gérer leur territoire et leur population !

Quand on observe les milliards d'euros qu'elles reçoivent annuellement, en subventions diverses, pour leurs "grands événements" (Tour de France, Mons Capitale européenne de la Cultre, Liège 2017 ?, Bruges ceci, Bruxelles cela ...) je me dis que "nous", ruraux laissés pour compte, on se fait vraiment "avoir" sur tous les plans.

Et maintenant "ils" veulent densifier nos campagnes ! Si "nous" (tous partis confondus) laissons faire cela, alors nous aurons manqué à notre devoir envers nos racines et notre mode de vie.

Et je ne parle même pas des éoliennes qu'on veut nous "planter" partout !

 

 

La tournée de consultation des villageois dans le cadre de la nouvelle opération de développement rural de la Ville a commencé de manière surréaliste, ce mardi à Crehen. (Le village de Wansin - hier - semble avoir mieux identifié les objectifs). Les citoyens doivent comprendre que l'opération de développement rural est un formidable outil d'amélioration de la qualité de la vie des villages au quotidien. Ce n'est pas "le miracle" qui va créer une nouvelle piscine, une salle culturelle, un hôpital, un nouvel Athénée Royal ou achever le contournement. Ces projets relèvent d'autres politiques et d'autres budgets de la Région wallonne, de la Communauté française ou de l'Etat fédéral !

Maisons de village, espaces verts, structures d'accueil des jeunes, places de villages, plaines de jeux, embellissement/rénovation de fontaines etc .. ! Ce que l'opération de développement rural vise sont de petits (parfois grands) projets de PROXIMITE dans chaque village et en aucun cas l'entretien des routes, la collecte des déchêts, les grandes infrastructures culturelles ou sportives, l'enseignement, les éoliennes, les poulaillers, bref, les grands axes "traditionnels" de la politique communale.

Venez nous proposer VOS idées en matière de convivialité LOCALE : c'est la commission locale de développement rural, qui sera créée après les élections, qui CHOISIRA les projets à mettre en oeuvre ET NON le pouvoir politique en place, quel qu'il soit.

Il est très important que chaque village soit représenté au sein de cette future Commission.

Ci-joint un lien vers le site internet de l'ODR qui vous permettra de vous rendre compte de ce qui se fait ailleurs dans le cadre d'une opération de développement rural : http://odr.frw.be/index.php?id=1

 

 

 

La friterie sur la Grand Place est sauvée ! Voila le propotype de problème qui n'en était pas un.

Explication : lors de la première réunion avec la Région wallonne (j'étais toujours en charge de l'Urbanisme - 2004), les architectes-urbanistes namurois nous parlent d'une place entièrement dédiée à la convivialité (pas de parking). Je rappelle que c'est la RW qui paie ... et qui décide !

Gros travail d'Hervé, Jean-Claude et moi-même, lors de cette réunion, pour leur faire comprendre que "pas de parking en plein centre de Hannut = révolution" !

Ils admettent les arguments mais, en tout cas, ils veulent une "ouverture visuelle" du carrefour vers la Place Gustin : donc plus de friterie. Qu'à cela ne tienne, on la déplacera vers l'autre coin, devant la banque Dexia.

En 2004 déjà, il avait été décidé de laisser la possibilité de maintenir cette friterie et d'enfouir toutes les commodités (eau, électicité ...) dans cette optique.

Dire qu'il y avait unanimité sur le maintien de cette friterie serait mentir. Mais dire, de la même manière, que la ville souhaitait sa disparition, c'est aussi mentir !

Lire l'article du journal La Meuse :

http://www.lameuse.be/regions/huy_waremme/2011-12-06/la-friterie-de-la-grand-place-de-hannut-est-finalement-sauvee-922672.shtml

La nouvelle Grand Place aura, comme d'habitude, ses défenseurs et ses détracteurs !

1. Faillait-il dépenser autant d'argent ? Nous n'avions pas le choix ! C'est un dossier largement subsidié par la Wallonie, comme à Waremme, Huy, Wanze ... comme partout. Fallait-il conserver notre vieux tarmac, notre éclairage ancestral, notre "tout au parking" ? Pour l'attrait de la ville il fallait agir, d'une manière ou d'une autre, dans la logique de la rénovation globale du centre-ville... et dans la logique qui prévaut partout en Belgique. Le hic : un tel projet ne peut être financé par les seuls deniers communaux. Le revers : c'est la Wallonie qui paie (principalement) ... et qui décide de la philosophie du projet !

J'entends dire : "N'aurait-il pas été possible de faire autre-chose avec cet argent" ? CLAIREMENT NON ! La Wallonie réserve un budget "subsides rénovation urbaine" à cet effet et toutes les villes sont candidates. Nous sommes aussi candidats à d'autres formes de subsides en matière de logement, d'économies d'énergie ... etc. Mais quand on vous octroie un subside pour rénover votre centre-ville, vous le prenez et vous ne posez pas de questions ! Sinon ce subside ira ailleurs et là on ne se posera pas de questions. Et la Wallonie (Région wallonne) investit dans les communes selon SES critères.

Pas question de n'y faire que du parking : nous n'avions donc pas le choix ET IL FAUT LE SAVOIR, ET LE DIRE. C'est la stricte vérité et tout le reste n'est que supputations de personnes mal informées et/ou calculs politiciens. Il suffit d'observer ce que la Wallonie a imposé dans les villes qui nous entourent, lorsqu'elle a subsidié des projets de rénovation identiques.

2. Parking : LA question. Hannut est la ville où existent le plus de places de parking, dans un rayon de 500 mètres autour du point central (Poteau Grand Place) : toutes les études récentes le démontrent à souhait. Je croise régulièrement des amis, qui se plaignent du manque de parking à Hannut. Je les croise à Namur, à Saint-Trond, à Liège, à Hasselt. Là, après avoir PAYE leur parking, ils font 1 à 2 kilomètres à pied pour se rendre au centre-ville ... et c'est tout-à-fait normal !!! Cherchez l'erreur ! 

Chaque jour, et même le week-end, je me rends à l'Hôtel de Ville. La grande majorité  (une centaine ... !) des emplacements de parking disponibles est vide, à moins de 100 mètres de la Grand Place ... alors que des dizaines de véhicules "tournent" en ville, tentant de trouver un emplacement situé "pile" en face du commerce à visiter ! Cherchez l'erreur !

Et ce projet, ce n'est pas une politique MR, PS, CDH ou ECOLO : c'est du bon sens ! Chaque élu est responsable devant les choix à opérer. Et dans chaque ville qui nous entoure, tous les élus ont opéré le même choix, qu'ils soient de gauche, de droite, du centre ou d'ailleurs. Quand la Wallonie (nouvelle appellation de l'ex-Région wallonne) octroie des subsides pour rénover les anciennes infrastructures, toutes les villes et communes sont demandeuses ... il y a plus de dix ans que nous attendons. Alors, ne boudons pas notre plaisir !

Dimanche 6 novembre, de 10h00 à 17h00 ---> 7ème Petit Marché artisanal.

Dans nos "quartiers d'hiver" à l'école communale de Thisnes.

Voyez notre site internet : http://petitsmarches.hannut.be

Je lis que Waremme souhaite se doter d'une salle culturelle digne de ce nom à l'horizon 2020. C'est aussi un voeu hannutois depuis de longues années, comme une piscine ou un stade d'athlétisme couvert... etc !

Ce sont des infrastructures "lourdes" que les communes à vocation régionale ne pourront plus assumer toutes - et seules -  il faut s'en rendre compte ! Comme le dit très justement Hervé, il est temps que les mentalités évoluent vers une prise de conscience, au niveau politique régional (Province, arrondissement, intercommunal...), de cet état de fait inéluctable.